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Elle aurait pu être cachée dans une malle poussiéreuse remisée au fond d’un grenier.
Elle aurait pu ne jamais revoir la lumière du jour. Elle aurait pu être brûlée, déchirée, perdue, donnée.
Mais voilà : elle était là, devant lui, intacte. Dans le placard de la chambre de son père, bien en évidence. » Alors qu’il vide la maison de son père disparu, Francis découvre une veste de soldat allemand.
Auprès d’elle, il découvre aussi un étrange tapuscrit.
Tapées sur une vieille Remington, ces pages vont lui révéler la jeunesse de son père, une jeunesse jamais évoquée par celui-ci.
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